Tu peux bien te foutre de ceux qui se contentent
Tu peux bien te foutre de ceux qui se contentent de ce que la vie leur donne, tu peux bien trouver neuneu ceux qui courent après la conquête des stéréotypes. Tu peux parler toi, pauvre fille enfermée dans ta tour dorgueil et de vanité, qui ne sors de ta torpeur que pour jouir des rapports de force et jubiler de la fange. Tu peux bien les trouver misérables ses sentiments humains dérisoires, tu es humaine je te signale......... <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> Exaltation, passion, amitié, amour,
Des mots puissants mais qui pour toi ne veulent rien dire, de vulgaires oripeaux qui ne font que masquer une mort émotionnelle anticipée. Pourquoi, mais pourquoi je ne ressens plus rien ? Lennui, lindifférence et la platitude de cette vie grotesque sont venus à bout de ces petits riens qui me ravissaient. Cest limpossible qui me porte, et limpossible me fuit. Si javais su que le futur serait si vain jaurais achevé limmolation entamée il y a des années. La vie ça ne peut pas être ça, ça ne peut pas être cette médiocrité qui englue tout. Ca ne peut pas être ces petites joies insignifiantes, ça ne peut pas nêtre que de la survie. Le masque du guerrier ne fait plus quun avec ma chair, il a tué lémerveillé, le simple, le doux. Il ny a plus que ça, ce mur de glace désagréable et faux, qui ne vit que pour faire plier et se battre. Je rejette avec une rage incompréhensible ce qui peut encore être beau et léger, cette part de moi qui pourrait être si caressante. |