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la plume au vent

14 février 2006

Accrochées comme un mobile les mouettes ont

Accrochées comme un mobile les mouettes ont rappelé que le lac était tout proche. Mouettes muettes aussi légères qu'un nuages. Avec Bernard Lavilliers, capitaine au long cours moulé dans son débardeur, elles ont pris le large... On the road again. Cap sur la salsa. Les mouettes ont-elles des oreilles pour entendre ? Ont-elles des narines pour sentir l'odeur de la marée ? Prisonnière de leur fil, les mouettes se sont balancées au-dessus de la houle, foule dansante aux bras levés. Les mouettes auraient-elles le sens du rythme ? Les mouettes connaissent la caresse du vent, pas celle des notes. Les mouettes essaient les gifles des tempêtes, même quand elles ne sont ni bec ni plumes. Accrochées comme un mobile sans chapiteau ouvert, les mouettes de papier ont tournoyé quand les rafales de vent ont fait rage. Prises dans le souffle de l'orage, les attaches de la grande toile ont vibré tels les filins d'un voilier. Petits îlots semés alentour, les bâches des stand ont claqué telles des voiles. Le feuillage des arbres a ployé, aussi mouvant que les vagues du lac. Ca balance pas mal sur les Jeunes-Rives. Reggae et avis de tempête. Un grain qui n'éteint pas la voix des instruments. Sur terre ocre, certains ont tangué. La "transe rasta" y était pour quelque chose. Bien plus que le vent
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7 février 2006

Grain de sable

Moi j'arrive jamais à rentrer dans la mer. Vous savez sur la plage, il y a toujours cette personne plantée à rien faire, qu'à de l'eau jusqu'au genoux et qui se retourne pour pousser des petits crisde japonaise à chaque fois qu'une vague lui mouille les cuisses ... Bien cette personne, c'est moi.

La bête excuse,  c'est de me plaindre qu'elle n'est pas assez chauffée, la mer et que j'ai froid, alors qu'il fait tellement chaud et que le soleil va finir par me cuire, même que je suis comme une saucisse condamnée qui enfle sur le grill: j'ai la peau qui se tend, je me gorge... sauf que c'est pas la graisse qui veut sortir, c'est le malaise. Je vvoudrais tellement me lâcher, mais j'ose pas. Jaloux, je regarde ces zenfants déchaînés qui sautent à la flotte en rigolant, comme si on pouvait, d'une manière générale, avoir confiance. Mais comment ils font pour se jeter comme ça dans l'infini la tête en avant, dans le début de l'infini ? Ouais, parce que la mer, c'est surtout ça, un truc qu'est là depuis toujours, et qui s'arrête jamais. La preuve, c'est qu'assez vite on n'y perd pied, et on se retrouve suspendu dans l'âbime, comme quand on est lucide. Ca donne moins envie, parce que, pour jouer avec ce genre de vertige, faut avoir le management existentiel bien solide.

Moi qui suis, si jeune, je cultive un air bien décidé en courant vers le rivage, mais, c'est du flan parce que, si je me dépêche, c'est juste que le sable est brûlant et me crame mes petits pieds douillets. La vérité, c'est que c'est pas évident d'aller jusqu'au bout de ce qu'on commence, parce qu'alors après on fait quoi ? Faut de l'idée,  c'est pour ça que je reste en chemin, à geindre et je vous assure qu'hésiter, c'est pénible, comme dans toutes les situations intermédiaires ou la vie.

Bon, tôt ou tard je trouverai bien le courage ... Enfin... C'est ce qu'on se dit tous, non ?

6 mai 2005

Pub

L'ineptie de certaine publicité redonne tout son lustre a l'adjectif grotesque. Et la bêtise sous sa forme pachydermique peut aussi s'avérer irritante qu'une poignée de fourmis dans les chaussettes. Ainsi du minois de Martina Hingis, dans la petite lucarne. Ce n'est pas le minois qui agace, mais le texte qui va avec. A savoir que Martina "joue en double dans la cuisine et dans la buanderie" pour une marque de quelconque installateurs, ce me semble. Que faut-il comprendre ? Qu'après diverses facéties sur les courts de tennis, l'ex-championne est enfin revenue sur le droit chemin ? Le message est d'une limpidité affligeante, d'une actualité préhistorique : la femme est nature, son biotope est l'armoire aux confitures, son bonheur dans la popote, sa meilleure amie la serpillère...

D'abord évidemment on choisit d'en rire puis, à force, on a de moins en moins envie de rigoler, alors on dira pas que, bon, trente ans de féminisme pour en arriver là, mais on finira quand même par le trouver saumâtre, le coup de la cuisine et de la buanderie...
Et puis on se retrouve dans sa cuisine à soi, pensif devant le placard évoquant la vastitude dépouillée des steppes, au coeur de l'hiver... Une armoire où gît un sachet de soupe solitaire, dans une cuisine où est venu s'échouer le trop plein de bouquins issu des autres pièces. Spectacle tonique, réjouissant. Et c'est avec une vigueur retrouvée que l'on jette dans l'eau bouillante l'ultime soupe façon Martina.

25 décembre 2004

Une pensée ... Joyeuses Fêtes !!!!!

Une pensée ...

Joyeuses Fêtes !!!!!

16 août 2004

La solitude transperce ton cœur de son aile

La solitude transperce ton cœur de son aile glacée<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

Tu respires la vague et tu suffoques

T’as bien envie de tout plaquer

T’es plus en phase avec ton époque

Tu aspires à l’amour et tu forniques avec l’indifférence

Tu aspires à la vie et gères tout juste ta survivance

Bien que révolté par tant d’injustices

Tu t’emmures dans tes certitudes ;

C’est comme une sorte de doux supplice

Que t’as intégré à tes habitudes

Tu bouffes du foot ou de la guerre

Tous les jours devant ta télé

Tout en sirotant ta p’tite bière

Ou en fumant ton tarpé

Manipulé par les médias.

T’es usé jusqu’à la trame

Dépossédé par les états

Bafoué jusque dans ton âme

Tout cela endurcit ton cœur

Qu’est dev’nu trop sec pour pleurer

On t’a fait croire qu’tu comptes pour beurre

Histoire de t’empêcher de t’relever

Redresses la tête et crois en toi

Y’a que comme ça que t’iras loin

Ouvres les yeux, réveilles-toi

Et avances sur ton chemin.

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28 juillet 2004

Bon ! un bon bond vers le bondage les sirupeuses

Bon ! un bon bond vers le bondage les sirupeuses blondes de nos premières blédines !

Mais finalement, fallait pas y aller même sachant ce qui était cuit de toute éternité au micro onde du clespydre universel !

Non certes !

Mais que disons nous là qui ne soit pas soumis unilatéralement voire équilatéralement au principe d'infatuation légomaniaque !

Nous aurons beau faire du théoraime de pythagoretex la première règle de troie, l'invariance karmique opposera son inertie hiératique aux libidineuses entreprises de nos mâle apprivoisés qui voudraient luthiner nos saluthistes entre deux barbes à papa la veille de noël au quatre fantasmes !

L'époque est à l'austéritage normatif genre "je vais dégueuler mes salades en publique entre 19-20 heures" sur une grande chaîne, aux sons revisités par NTM un soir de coketterie excessive, de la marche nuptiale de lohengrin de celle, avec stroboscope et gyrophare incorporés entre deux spots dégoulinant de kitsch ,vantant les intromissions aveugles et sans heurt du tampax des loups ! même la vierge marie aurait pu se les injecter sans vice de forme ! la chose serait restée elastomère et conforme à la norme DIN don de la farce du droit canon !

La sainte cène de ménage, en direct dans vos salons, cuir pleine vachettes de trois ans nourries au grain de folie dans les alpages de nos utopies new age biodégradables !

Le pied à terre quoi ! avant d'étrier le bon grain de l'ivresse !

La marie qui multiplie les pains à la face d'un joseph calvin triste par anticipation et qui rit déjà sous capote !

Avant de se faire cajoler pour quelques éternités par la marie madeleine de proust en mâle de rédemption et devenir président des omelettes baveuses de sa circoncision électorale !

Sans oublier nos glorieux membres d'exit qui se précipitent, la langue légèrement tirée dans un effort d'application digne des fayots les plus flatulents, la mort fine à la main, pour soulager le calvaire de celui qui finira par faire partie du golgotha revêtu du maillot à poids du meilleur grimpeur de la plaine de la bécasse !

Faut dire que l'époque de l'épopée est déjà seringarde ! épique et pique et colegramme de coq en pâte ergoteur !

Silence ! on tourne ! le peuple se rassasie de ces derniers soubresauts d'obstacles glissés entre deux bouchées de saloperie aux conservateurs et une cuillère pour les laboureurs !

T'oubliera pas de passer à la busherie demain mon chairi bibine ! on se fera un trip de viscères vice qui fera franchir à nos panses bêtes le mur de l'unisson de l'extase hédoniste !

Titupérances !

Intempérances !

Ou des stridences démoniaques de l'appel à gâteau de la voisine qui s'essaie aux renversements de toutes les valeurs et à la conquête du surhomme sur le coin gauche et douloureux de la table de la cuisinus !

Lequel surhomme a d'ailleurs tourné la page de ce chapitre et glorieusement pris la tangente !

Toute la sophistication du monde est dans le mode d'emploi du nouveau mixer !

Sans parler du furet daltonien qui hurle comme un putois albinos les soirs de lune noire !

8 juillet 2004

Vous savez ce qu'est un amour platonique: un

Vous savez ce qu'est un amour platonique: un amour chaste et idéalisé. Il a un avantage énorme sur l'amour classique: l'autre ne peut vous révéler ses défauts, puisque vous ne l'approchez jamais. Mieux encore dites-vous ? Ah oui, je vois, vous êtes maligne. On peut se permettre, me lancez-vous, de commettre un adultère platoniqu, car le risque d'être sanctionné ou découvert par son conjoint est quasi nul.

Ce n'est pas certain du tout. En effet si en Italie on n'a donné tord à l'épouse qui s'est entichée chastement d'un chauffeur d'autobus, mais a tel point que son mari s'est senti trahi dans.... sa chair.

Oyez Oyez donc: Tous les frais ont été mis à la charge de l'épouse en la déclarant infidèle pour "adultère non consommé, mais apparent". Mamma mia, que de mariages vont désormais voler en éclats !

 

6 juillet 2004

"Alors, cette tartine, elle est finie ?",

"Alors, cette tartine, elle est finie ?", criez-vous un matin dans votre salle de bains.

Une petite voix flûtée, bien assurée, sort de la cuisine. "Oui papa".

Au même moment, vous entendez, très distinctement le couvercle de la poubelle... Votre coeur chavire: la prunelle de vos yeux , la joie de vos vieux jours, la chair de votre chair vous ment !

Là, vous avouez votre impuissance. Et hésitez drôlement entre quelques options:

1. Sortir en hurlant de la salle de bains, gifler l'ange à toute volée, crier comme une furie votre haine du mensonge. Avantage : demain, il avalera tout rond satartine. Inconvénient: assez peu recommandé par les méthodes modernes d'éducation.

2. Le prendre amicalement par l'épaule et lui expliquer durant une demi-heure que le mensonge n'est pas la solution à ses problèmes. Avantage: recommandé par les méthodes modernes d'éducation. Inconvénient: il sera en retard à l'école. Et vous au bureau. Et dans 10 ans, vous prendrez deux jours pour le sermoner sur ses rentrées tardives, regrettant les gifles que vous n'aurez pas administrées plus tôt...

3. Lui dire que Dieu, qui est Grand voit Tout,  punira ses menteries. Avantage: vous vous déchargez de toute responsabilité dans cette affaire. Inconvénient: difficile de lui expliquer pourquoi Dieu s'intéresse à une tartine et pas aux poseurs de bombes.

4. Faire comme si vous n'aviez rien entendu. Au fait, était-ce vraiment le bruit de la poubelle ?   

5 juillet 2004

Couleur menthe à l'eau

C’était sur une terrasse, l’autre jour. Pas très confortablement assis sur une chaise bancale, je bullais. Seul à rêvasser lorsque, soudain, un groupe d’adolescentes aux lèvres carmin m’a sorti de ma torpeur. Elles piaillaient comme des oisillons, ont commandé des sirops limonade et dit en pouffant tout le mal qu’elles pensaient des garçons de leur âge. Les yeux khôlés, élégante, la plus jeune de toute réajuste sans cesse son voile.

Ses copines lui disent de l’enlever pour montrer sa magnifique chevelure teinte au henné. Elles me lancent un coup d’œil pour s’assurer que je ne suis pas un de ces garçons dont elles parlent. Pas de trace d’une présence de boutons sur cette terrasse microscopique. Mais la jeune femme ne veut pas. Son voile, elle vient de le recevoir pour son anniversaire et pis… Il est griffé ! C’est vrai qu’elle est somptueuse, son étole noire, visiblement en soie sauvage. Elle ôte tout de même sa longue jaquette, l’adolescente respectueuse de sa religion.

Mon regard ne peut dès lors plus quitter son dos ! Pas que son T-shirt soit d’un mauvais goût crasse : tout chez cette ado n’est qu’élégance raffinée. Mais se rend-elle compte du paradoxe qu’elle provoque en moi, cette jeune femme voilée ? Se rend-elle seulement compte que son jean taille basse laisse dépasser son joli string rose ?....

1 juillet 2004

Tu peux bien te foutre de ceux qui se contentent

Tu peux bien te foutre de ceux qui se contentent de ce que la vie leur donne, tu peux bien trouver neuneu ceux qui courent après la conquête des stéréotypes. Tu peux parler toi, pauvre fille enfermée dans ta tour d’orgueil et de vanité, qui ne sors de ta torpeur que pour jouir des rapports de force et jubiler de la fange. Tu peux bien les trouver misérables ses sentiments humains dérisoires, tu es humaine je te signale.........  <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

 

Exaltation, passion, amitié, amour,… Des mots puissants mais qui pour toi ne veulent rien dire, de vulgaires oripeaux qui ne font que masquer une mort émotionnelle anticipée.

 

Pourquoi, mais pourquoi je ne ressens plus rien ? L’ennui, l’indifférence et la platitude de cette vie grotesque sont venus à bout de ces petits riens qui me ravissaient. C’est l’impossible qui me porte, et l’impossible me fuit. Si j’avais su que le futur serait si vain j’aurais achevé l’immolation entamée il y a des années.

 

La vie ça ne peut pas être ça, ça ne peut pas être cette médiocrité qui englue tout. Ca ne peut pas être ces petites joies insignifiantes, ça ne peut pas n’être que de la survie.

 

Le masque du guerrier ne fait plus qu’un avec ma chair, il a tué l’émerveillé, le simple, le doux. Il n’y a plus que ça, ce mur de glace désagréable et faux, qui ne vit que pour faire plier et se battre. Je rejette avec une rage incompréhensible ce qui peut encore être beau et léger, cette part de moi qui pourrait être si caressante.

1 juillet 2004

Boites à musiques mélancoliques, fermez boutiques

Boites à musiques mélancoliques, fermez boutiques Epoque épique Equipe en toc à coups de triques on fait du troc, on mord du fric le monde s’en moque. Les vieux font la nique c’est le grand choc de ceux qui chiquent tout près des bocs. Dans les bars chocs sur les zincs chics, les vieux font la nique petite époque des enfants tristes battant les notes égrènées de crics sur mode de rock, vident leurs têtes posent leur cœur.
C’est la vieille quête des gendarmes et des voleurs, Méli-Mélo une mélodie mélo d’Elodie mélodrame pour Margot. Dis-moi si l’on médit de moi Là-Haut ?
Pour ton homélie J’ai mis de l’eau dans le vin Je sais, ce n’est pas bien. Dis moi Si cette mélodie Mélodrame ou scie Mal au crâne ou pluie, Mélodie louche Aux airs farouches pour une femme seule. Mélodie borgne pour un piano crapaud en deuil. Mélodie brève pour accorder du rêve sous les feuilles. Dis-moi si l’on médit de moi là-bas ? Le monde expire les avions chassent loin de Shakespeare la terre s’encrasse dans Alger ou Kaboul les mollahs perdent la boule. Endormies les colombes obéissent aux faucons, à quand la déportation des tombes des canons, de la justice avariée des inquisiteurs décorés. Apoplexie fin de siècle miroirs décadents, le pieux changement depuis Malcolm X, les fauvettes miment les perdrix et les cormorans trillent sans dents pour Jim Hendrix.
30 juin 2004

C'est vraiment étrange, étrange car, revoilà

C'est vraiment étrange, étrange car, revoilà l'étrange qui se fait passer pour déesse. La fausse note dans tout cela c'est qu'elle virvolte dans la niaiserie, dans les mots qui, encrés dans son passé reviennent au galop. Même si elle n'aime pas les chevaux on pourrait lui mettre un calicot au-dessus de sa tanière "chassez le naturel, il revient au galop".... De Pearl en Dark, cela se fait passer pour une pauvresses au yeux de tous. Comme c'est affreux, la malheureuse, que voulez-vous, elle n'a pas de chance.
22 juin 2004

Lettre de Yves Assis sur la margelle du lavoir de

Lettre de Yves

Assis sur la margelle du lavoir de Mouthier, je laisse vagabonder mes sombres pensées. Il est vrai que depuis Morteau j'ai le moral dans mes chaussettes, chaussent qui justement me chagrine, vu leur état. A propos de Morteau, vu la différence de prix, je me demande si la région ne va pas être envahie de véhicules hippomobiles conduits par des chalands romands venus faire leurs emplettes.

Mes humeurs sont dues à mon choix. Ai-je raison d'entreprendre ce long périples à la recherche d'un savoir tardif ?

Un bouvier qui vient abreuver ses bêtes se met à bavasser avec mo. Ses problèmes éclipsent les miens. Les terres sont trop petites pour nourrir les paysans et les grands domaines rapportent rien à leurs propriétaires. Pour étayer ses dires il me montre trois ploucs houant péniblement un champ dans l'espoir d'en tirer un pauvre sarasin.

De sa besace il tire un blond Jésus et un morbier à la suie brillante; de la mienne deux cloretins. Nous nous séparons après ce repas royal; il restera paysan, je vais rejoindre mes herbes.

Je vais me rendre à Genève par le Risoux et la rive du Léman. Peut-être, sur mon chemin, trouverais-je un convoyeur pour mes chausses et une bouquetière pour mon coeur. Genève, je ne sais pas encore que le sang puis le feu m'y attendent....

31 mai 2004

Tous ces toujours cela nous joue des tours, c’est

Tous ces toujours cela nous joue des tours, c’est pas très net, sans se montrer ça s’approche à pattes de velours comme un traître, selon les jours, cela me lasse ou me blesse…. faiblesse. Qui peut savoir ! Sagesse ! Cela ne veut rien dire l’amour, ça se déguise en doux car, toujours, j’en veux plus encore que quand cela gronde et que cela mord cela m’inquiète et ce n’est pas tout. Je me demande pourquoi se faire des tas de plaisirs et frissons, de pauvres promesses pour des caresses, que la bougresse en devient ogresse, à quoi bon ce laisser partir le cœur en chamade car, ne rien n’y comprendre c’est tomber dans une embuscade. Ce n’est pas faute d’essayer, je laisse tomber, car il n’est pas si grand couturier, ne tombe pas avec justesse. Je préfère le goût de la plume au vent, le goût doux de la tendresse de mes maîtresses mais, l’amour, pas vraiment. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

 

Le boucher à bien son esse et, c’est pour cela que je le laisse, pas besoin de laisse sans cesse.    

31 mai 2004

Bien dis moi que tu m'aimes... Tu me le dis plus,

Bien dis moi que tu m'aimes... Tu me le dis plus, tu ne fais plus d'efforts, tu ne t'intéresses plus à ce que je fais, tu ne me fais plus de compliments, tu me dis plus que je suis belle et désirable, alors c'est que tu m'aimes plus... Je demande le divorce!
Et voilà, pour un oui, pour un non, c'est la séparation.. La belle est partie pour aller recommencer ailleurs, ce qu'elle a raté la veille, un clafoutis d'amour... Le divorce, le mot est lâché... Une nouvelle maladie, un nouveau virus... Avant on prenait des maîtresses et on revenait gentiment au bercail, maintenant, on change, on décompose, on recompose une famille, un couple.. Et tout est pour le mieux...
Vous allez me dire, que c'est plus sain que de se trimballer avec une kyrielle d'aventures adultères.. Certes, mais quand même, on n'arrête pas une histoire, comme si on venait de lire une BD.. Nos sentiments ne sont pas des barquettes surgelées que l'on promène d'amour en amour, pour s'envoyer en l'air dans la première cuisine venue, juste sur le piano..
Voilà, c'est ça, on chauffe une rencontre, on fait fondre la glace, et après, un coup de micro ondes pour emballer le tout et manger rapidement sur place, non ce n’est pas pour emporter, un clafoutis d'amour...
Allons, un peu de sérieux, ne sombrons pas dans l’indigestion , avec des amours trop fastes, avec des câlins trop food, on en aura une indigestion avant même d'avoir consommé notre amour... Soyons fleurs bleues, imaginatifs, conquérants et laissons les sentiments s'installer...
Et ne me dites pas deux jours après le mariage, que vous vous êtes trompés, que c'est sa meilleure amie qui vous plait, et que votre femme (la plus récente), n'est pas faites pour vous..
Que dire, je suis terrassé par ce que je vois....
Les amours surgelés, ce n’est pas encore pour tout de suite pour moi..
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31 mai 2004

Bien dis moi que tu m'aimes... Tu me le dis plus,

Bien dis moi que tu m'aimes... Tu me le dis plus, tu ne fais plus d'efforts, tu ne t'intéresses plus à ce que je fais, tu ne me fais plus de compliments, tu me dis plus que je suis belle et désirable, alors c'est que tu m'aimes plus... Je demande le divorce!
Et voilà, pour un oui, pour un non, c'est la séparation.. La belle est partie pour aller recommencer ailleurs, ce qu'elle a raté la veille, un clafoutis d'amour... Le divorce, le mot est lâché... Une nouvelle maladie, un nouveau virus... Avant on prenait des maîtresses et on revenait gentiment au bercail, maintenant, on change, on décompose, on recompose une famille, un couple.. Et tout est pour le mieux...
Vous allez me dire, que c'est plus sain que de se trimballer avec une kyrielle d'aventures adultères.. Certes, mais quand même, on n'arrête pas une histoire, comme si on venait de lire une BD.. Nos sentiments ne sont pas des barquettes surgelées que l'on promène d'amour en amour, pour s'envoyer en l'air dans la première cuisine venue, juste sur le piano..
Voilà, c'est ça, on chauffe une rencontre, on fait fondre la glace, et après, un coup de micro ondes pour emballer le tout et manger rapidement sur place, non ce n’est pas pour emporter, un clafoutis d'amour...
Allons, un peu de sérieux, ne sombrons pas dans l’indigestion , avec des amours trop fastes, avec des câlins trop food, on en aura une indigestion avant même d'avoir consommé notre amour... Soyons fleurs bleues, imaginatifs, conquérants et laissons les sentiments s'installer...
Et ne me dites pas deux jours après le mariage, que vous vous êtes trompés, que c'est sa meilleure amie qui vous plait, et que votre femme (la plus récente), n'est pas faites pour vous..
Que dire, je suis terrassé par ce que je vois....
Les amours surgelés, ce n’est pas encore pour tout de suite pour moi..
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30 mai 2004

Dans la vie celui dont elles rêvent toutes ....

Dans la vie celui dont elles rêvent toutes .... celui qui, serait là le dimanche pour les sortir(enfants et maman) au bord du lac ou tout autres endroits sympathiques, qui le samedi serait prêt à miraculeusement venir au secours d'un tablard à poser ou des litres de lait à porter pour la semaine. Celui qui mijoterait (pourquoi pas) un bon petit plat les jours où la maman rentrerait d'une journée de travail acharné, exténuée et affamée (pour autant qu’elle fasse un travail) capable de ne balbutier qu'un pitoyable merci, mais pleine de gratitude à l'égard de l'homme si attentionné bref un homme, normal un  peut  drôle (pas trop), charmant, pleins d'attentions et qui surtout n'attend en retour que des moments agréables qui ne figurent pas forcément dans le lit.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

 

Il existe, serte mais fini toujours par se montrer moins... parfait… qu'on ne l'attend, les années de mariages ou concubinages finissent souvent par en venir à bout à moins, qu’elles finissent (femmes chéries) à devenir plus exigeantes avec le temps (jamais contentes) et plus (exigeantes) avec les expériences à venir. En fait il faudrait peut être envisager d'inventer un nouveau métier à aux messieurs LE nounou de maman (voir madame dans certains cas) oui mais alors dans ce cas (c'est toujours pareil) les mamans à revenus modestes seront obligées de se trouver un mari….  L’homme-tirelire  vient de naître, le parfait, toujours prêt quand il le faut, la main en alerte juste pour un bon plaisir, celui de madame. Souriez Messieurs vous êtes filmés. Cela s’appelle l’amour fast food de Madame, le nouveau jeu….
28 mai 2004

Juste de toi à moi, chanson un peu triste, quatre

Juste de toi à moi, chanson un peu triste, quatre temps de mots pliés, rognés et froissés, quelques notes en bémol et tous mes regrets. Tous mes regret de nous deux sont au bout de mes doigts. Comme la gamme Do ré mi fa sol la si do, s’en est une fanée,  comme celle que tu murmurais. Pourtant, trois fois rien de nos vie, petite mélodie de rien comme ce qu’il reste de nous. Elle est au creux de ma voix, souvenir que cette chanson pour ne pas s’oublier sans mots dire, sans maudire…. je crois.

Quelqu’un m’a dit que nos vies ne valaient pas grand-chose car elles passent en un instant comme fanent les roses. Il  est comme le temps qui glisse, c’est un salaud car de nos pleurs et nos chagrins il n’en fait qu’un manteau. Pourtant la rumeur dit que tu m’aimes encore. Serait-ce possible ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

De nous, on dit que le destin se moque, qu’il promet tout et ne donne rien, parait que le bonheur est à porté de main, qu’on se retrouve fou à force de tendre la main. Mais qui est-ce qui m’a dit que toujours tu m’aimes ? C’était si tard dans la nuit ou bien tôt le matin, je ne me souviens plus. Je ne vois plus les traits juste la voix, « elle vous aime encore, ne le dites pas c’est un secret. » Quelqu’un me l’a dit tu vois. Me l’a-t-on vraiment dit. Certains me disent que nos vie ne valent pas grand-chose en un instant elles passent comme se flétrie la rose. Le temps qui glisse est un salaud  que de nos tristesses il s’en fait des manteaux.

Une drôle de personne qu’est tout le monde, il a l’âme qui s’emmêle, de l’enfance qui ronronne tout au fond d’une poche percée. Des restes de rêves  et des cons de vie arrachés, tout le monde a cherché quelque chose un jour et ne l’a pas trouvé. Il faudrait que tout le monde clame et réclame, pas tous ont trouvés. Réclames aux autorités contre la solitude une loi afin que oublié personne ne soit. On a une seule vie qui passe mais on ne s’en souvient pas, j’en vois qui la plie et qui la casse, qui ne la voit pas. Faudrait une loi contre l’indifférence car tout le monde à une enfance qui résonne au fond d’une heure déchirée, oubliée.

24 mai 2004

Dis-moi, tu le fais exprès? Tu as réussi à saper

Dis-moi, tu le fais exprès? Tu as réussi à saper ma bonne humeur si rapidement. Quel besoin tu avais d'écrire, de parler de Lui en plus, de dire que je me suis trompé, que ta mère, ton père me détestent bel et bien, détaler ta vie comme sur l'étal d'un marchand de glaces....

Ca t'aurais tué de me laisser ? Tu te moques de moi ou pas? Attends, et dire que tu ne penses même pas que j'ai de la peine à cause de tout ça... Que tu es heureuse avec Lui et que tu t'en fiches de moi. Moi,  "l'homme de ta vie", ton "amour"... tu t'en souviens? Je suppose que maintenant, c'est Lui qui entend tout ça.

Foutue franchise. Cette franchise que tu n'utilises que quand tu le veux bien. Mais tu l'oublies quand tu me dis que tu tiens à moi plus que tout, que tu ne feras jamais rien contre moi même si l'on se sépare. Tu le sais, t'as pas pu changer à ce point, tu sais très bien que je ne veux surtout pas entendre parler de Lui. Ni de toi d'ailleurs.

Pourquoi tu t'obstines à écrire? Je ne veux pas, je m'en sors très bien sans toi.

Les raisons de ma colère sont vites trouvées Carmen...

Comment j'ai pu être si faible. C'est beau l'amour...  Pourquoi je me suis laissé faire à ce point ? Pourquoi je t'ai fait confiance. Je te croyais toujours. Ca te faisais rire d'ailleurs. Tellement naïf, tellement amoureux...

Je ne voulais pas parler de toi ici. Mais ce n'est pas possible....

23 mai 2004

Il est parfois des usages qui sont dans les

Il est parfois des usages qui sont dans les gènes. Faut savoir ce que l'on se veut dans la vie, on ne fait pas un enfant et puis, parce que cela nous arrange on l'abandonne soit-disant pour son bien, pour son bonheur.

Elle a eu un enfant handicapé, pour cette raison parait-il qu'elle ne voulait pas quitter ce qu'elle avait conçu comme plan diabolique. Elle disait à qui voulait l'entendre, je ne divorcerai jamais il a encore un dur combat qui l'attend dans la vie. Tout cela se ne sont que des mots jeté comme bien d'autres à la face des gens pour faire d'elle cette femme sans reproche. Tout comme d'ailleurs elle ne s'affichait pas avec son amant pour cacher sa forfaiture et, que celle-ci retombe sur son mari. Qu'il soit la cause de leur rupture parce que comme elle le disait c'est un enfant qui a besoin que je le materne.

A force de lire ses écrits, adressés à ses amants il est a se demander si, elle n'a pas aussi cet handicap mental. D'ailleurs n'est-ce pas elle qui l'a donné à son fils, parait que c'est seulement les femmes de sa famille qui transmette ces atrocité au males. Pauvre enfant, le voilà non seulement dans une maladie, mais aussi trimballé d'une maison à l'autre. On n'a beau clamer à tout va que l'on n'aime son enfant on ne vit pas de cette manière, par respect pour lui.

L'agage dit il vaut mieux prendre une "salope" dans son lit on c'est à quoi on s'attend... 

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